Paddington : L’histoire de l’ours qui venait du Pérou

J’ai enfin sauté le pas et commencé la collection des albums de Paddington illustrés par R.W. Alley et c’est troooppp mignon ! J’ai réussi à en trouver trois pour l’instant, certains n’étant pas faciles à dégoter, mais je ne désespère pas ! Si vous les cherchez, pour ma part, je ne les ai trouvés que sur le net.

Résumé : Alors qu’ils sont à la gare de Paddington, M. et Mme Brown trouvent un ours abandonné sur le quai. Autour de son cou, une étiquette : « S’il vous plaît, veillez sur cet ours. Merci. » Et c’est exactement ce que les Brown vont faire… Après l’avoir baptisé Paddington, ils adoptent ce petit ours qui arrive en fait du fin fond du Pérou. Dès sa première journée où un simple bain se transforme en inondation, le nouveau venu devient synonyme de catastrophe.

Depuis ma découverte du film Paddington, j’avais très envie de découvrir l’oeuvre littéraire derrière ce petit ours maladroit et adorable. Et j’entends par là, les albums de Michael Bond, car oui, en librairie on m’avait proposé les albums du dessin anime… Nop ! Je voulais l’original. Pas facile à trouver, mais j’ai fini par mettre la main sur trois dont le tout premier, bien entendu.

Pas de surprise, car je connaissais déjà un peu l’histoire avec les films, mais un vrai plaisir de se replonger dans la rencontre entre les Brown et Paddington. L’histoire est très courte, ne faisant qu’une trentaine de pages, mais nous allons à l’essentiel. La rencontre, le caractère naïf et adorable de l’ourson et cette famille qui ne sait pas vraiment dans quoi elle s’est embarquée, mais clairement pour une aventure inoubliable.

C’est mignon tout plein, adorable et improbable aussi, mais j’ai beaucoup aimé. Les dessins sont parfaits pour l’histoire et la douceur du trait ne fait qu’ajouter à l’ambiance très cosy de l’album. Il y a vraiment ce petit je ne sais quoi très british qui fait toute la différence.

Je suis un peu restée sur ma faim à la dernière page, tout comme les Brown à n’en pas douter, mais cela donne clairement envie de poursuivre l’aventure. 32 pages ce n’est pas beaucoup pour une histoire, surtout avec un héros tel que Paddington. Mais au moins, cela m’a donné très envie de découvrir les romans !