Paddington et le Noël surprise est encore une histoire très mignonne mais certains éléments gâchent un peu la magie de Noël.
Résumé : Noël approche et Paddington va bientôt réaliser son rêve : rencontrer le Père Noël !
Quelle n’est pas sa déception quand, avec la famille Brown, il se rend au grand magasin : le jardin d’hiver du Père Noël n’est pas aussi joli que la jardinière de Mme Bird, et le seul renne présent est en plastique… Dépité, le petit ours décide de prendre les choses en pattes. Mais, comme toujours quand Paddington s’en mêle, les catastrophes s’enchaînent !
Parution : 23/10/2014 chez Michel Lafon
Nombre de pages : 32
Prix : 10€95
Paddington et Noël dans la même phrase, impossible de résister ! Je me suis vraiment attachée au petit ours anglais, et c’est toujours un plaisir de découvrir ses nouvelles aventures, même si elles sont toujours trop courtes pour moi.
Ici, les Brown et Paddington vont dans un grand magasin pour rencontrer le Père Noël et faire une petite visite dans le pays féérique aménagé spécialement pour l’occasion. Notre petit ours a économisé tout son argent de poche pour cette sortie et ses attentes sont vraiment très très grandes. Malheureusement, les choses dérapent rapidement… le village n’est en effet pas à la hauteur et Paddington décide de mettre son grain de sel créant une petite catastrophe… Oups…
J’ai toujours un peu de mal avec les personnages qui se montrent hostiles envers Paddington. Il y en a toujours un dans chaque album, et j’avoue que je trouve que cela casse un peu la magie, surtout ici dans une histoire sur Noël. Mais heureusement, les Brown et Mme Bird sont là pour prendre soin du petit ourson. On voit toute l’affection qu’ils ont pour lui, même quand sa naïveté produit quelques petits désagréments. Mais comment lui en vouloir.
Une histoire mignonne comme à son habitude, même si j’ai trouvé que la magie de Noël n’était au final pas trop présente. C’est mon côté bisounours, comme d’habitude. La fin remonte par contre bien le niveau avec un événement des plus adorables. de quoi fermer l’album avec un énorme sourire.
Mes chroniques des autres albums de Paddington : ici