Un tome 26 vraiment très intéressant pour Karneval et l’on en redemande ! On sent que la fin approche également, et c’est assez excitant !
Résumé : Lors de l’autopsie de Bellanautica Eygon, une varga repentie, les scientifiques de la tour de recherche ont découvert dans ses entrailles une bien étrange créature… D’après les révélations posthumes de la jeune femme, ce serait l’animal de compagnie d’un membre haut placé de Kafka ! Les agents de Circus décident de cacher une balise sur la bestiole avant de la relâcher, pour qu’elle les mène à son propriétaire. Pendant ce temps, Hirato et Yogi sont en mission dans la région de Gaghata afin d’en apprendre davantage sur le mystérieux peuple alongua, tandis qu’à Karasna, Gareki reçoit la visite aussi soudaine qu’inattendue de Nai, qui lui pose alors une drôle d’énigme…
Parution : 21/10/2021 chez KI-OON
Nombre de pages : 162
Prix : 7€95
Cela devient de plus en plus excitant au fur et à mesure que l’on se rapproche de la fin. Pas énormément d’action dans ce tome vingt-six, mais les choses bougent vraiment et il y a quelques révélations ainsi qu’un mystère entourant Gareki qui est plus qu’alléchant. Non vraiment, les lectures des derniers tomes de Karneval sont vraiment un plaisir.
Je me doutais que le combat de Yogi et Hirato serait assez court pour passer à la suite, mais il n’est pas bâclé pour autant, bien au contraire. Et surtout, cet affrontement a des répercussions très importantes pour la suite de l’histoire. Les choses bougent vraiment. Les Vargas s’affolent, Circus décide de mettre au courant la population de la menace qui pèse sur eux, et les différentes équipes sont sur le pied de guerre plus que jamais. Il y a une énergie vraiment différente qui se dégage entre fébrilité et détermination. Les plans de Kafka sont maintenant contenus et nos héros savent que l’humanité tout entière est menacée par ce reboot plutôt arbitraire. La situation n’est pas au beau fixe, c’est certain, mais clairement je n’ai jamais été autant prise dans l’histoire que depuis quelques tomes.
Gareki sortant encore une fois son épingle du jeu. J’avoue avoir eu un peu peur quand les flashbacks concernant son enfance apparaissent. Je me disais que Touya Mikanagi allait tirer sur la corde, mais non. Cela ne dure pas très longtemps au final, et l’on touche aussi du doigt un mystère qui pourrait peut-être être la clé de tout. Comme je le disais dans ma chronique du tome précédent, j’ai vraiment l’impression que Gareki est devenu le héros de Karneval. Et j’aime beaucoup cette tournure, car le jeune homme a vraiment évolué et j’aime ce qu’il est devenu et la place qu’il a réussi à prendre au sein de Circus et de ses membres.
Le hic maintenant qu’il ne reste que deux tomes et au vu de la situation, c’est que je commence à avoir peur pour tous nos héros… Franchement, je les aime tous beaucoup, ils ont su trouver une petite place dans mon coeur, et même si je comprendrais qu’en éliminer certains aurait un effet dramatique en adéquation avec l’histoire… j’espère franchement qu’ils pourront tous s’en sortir. Donc, je ne suis pas très sereine depuis un moment, mais c’est le jeu !
Une bonne transition pour parler de la fin… Franchement, je n’y crois pas des masses, et je comprends l’effet voulu, mais c’est un peu gros. Par contre, les conséquences pourraient être très intéressantes notamment avec le personnage d’Eliska. A voir !
Un tome vingt-six très intéressant encore une fois. La qualité est là, rien à redire que ce soit au niveau de l’évolution des personnages que de la trame. La tension est bien dosée, les héros toujours bien mis en avant, et cela tout en nuances. Moi, j’en redemande !
Mes chroniques des tomes précédents de Karneval : ici