Sans surprise, The Sandman est une petite douceur pleine de poésie et charmante à souhait, dans la lignée des autres tomes.
Résumé : Of course you know the Guardians of Childhood. You’ve known them since before you can remember and you’ll know them ’til your memories are like twilight: Santa, The Tooth Fairy, The Sandman, The Easter Bunny and the others. But…where did they come from? How did they became beloved, and worthy of holidays? Wonder no more, because William Joyce is here to answer your questions. This, the second book in the Guardians picture book series, will provide the background, the history, the life of Sanderson Man Snoozy. You may be more familiar with his nickname-the Sandman-but you are certainly privy to his legend, to his ability to control and manipulate sweet dreams… for those who deserve them.
Mon avis : Bon je sais pas trop comment j’ai fait mon compte mais je suis en train de lire les albums des Guardians of Childhood à l’envers ! Ce qui n’a pas réellement d’incidence si vous vous posez la question mais du coup j’ai commencé par le tome trois, puis le deux, et je vais terminer par le un… pour enchaîner avec le quatre quand il sortira. C’est comme la saga Star Wars cette histoire ! XD Bref !
Ayant adoré le film ainsi que les dessins de William Joyce, il était évident que j’allais poursuivre les albums. Celui consacré à Sandy (The Sandman), notre marchant de sable préfère, est tout autant à la hauteur que celui sur Jack Frost. Le graphisme est magnifique alliant différents styles ici avec d’un côté celui que l’on connaît et aussi un autre qui ressemble assez aux peintres de la Renaissance. Les tons chaux et dorés ressortent très bien et pour le coup appuient parfaitement l’histoire qui se veut pleine d’espoir et de douceur.
Côté histoire, justement, j’ai beaucoup aimé sans surprise. Il y a un côté très doux et lyrique que l’on retrouve dans le texte de The Sandman. Ce côté poétique est charmant à souhait et je trouve qu’en lisant, cette impression que le texte chante, vous aide encore plus à entrer dans l’univers de l’album et à vous immerger totalement. Sandy est en plus adorable. On a envie de lui pincer les joues avec sa petite carrure tout en rondeur. Mais attention, quand il le faut, le petit bonhomme sait se défendre, surtout contre Pitch.
En anglais, The Sandman est tout à fait abordable. Le vocabulaire est loin d’être pauvre mais les phrases courtes et les dessins aident parfaitement à comprendre et cela même pour les plus jeunes qui commencent à déchiffrer la langue.
Ouuuh que j’adore ce dessin animé <3 Il me tarde de découvrir l'origine littéraire de ces contes :) ton article me donne très envie de m'y mettre
Les albums sont juste magnifiques !!! J’attends que les autres sortent avec impatience.